13h15.

Je suis dans une salle de cours. Le grand bâtiment de ma formation en informatique est vide. La plupart des étudiants sont en train de manger, dehors, profitant des rayons d’un soleil hivernal bienfaisant. Dans les longs couloirs, des rires lointains et quelques éclats de voix résonnent. Moi je suis au calme, dans cette salle. La lumière entre à flots par d’immenses fenêtres, tombe sur des rangées d’ordinateurs et d’écrans noirs, éteints. La salle est silencieuse. Presque.

La seule chose qu’on entend, c’est toi, sous un bureau. Discrète, mais pas trop. Tu lèves les yeux vers moi, des yeux joueurs, soulignés par un grand sourire. La bouche pleine, coulante. Je te souris en retour et j’appuie un peu plus sur la main posée dans tes cheveux. Docile et ravie, tu t’exécutes, prenant quelques centimètres de plus dans ta bouche, avec un petit gargouillis humide. Tes lèvres sont luisantes de salive et de liquide séminal, et je me laisse aller dans ma chaise. Avec un long soupir détendu.

Ma main posée dans tes cheveux continue de s’activer pour te guider. Tu n’as pas besoin de réfléchir au rythme, juste à sucer. Tu peux être aussi affamée que tu en as envie, il y a bien assez de ma queue pour assouvir ta faim.

- Bonne pute…

Une récompense, gémie, offerte pour te remercier. Te faire savoir à quel point j’aime ça. Et pour cause, tu t’en donnes à coeur joie sur ma queue. Mon membre épais disparaît régulièrement dans ta bouche, faisant entendre un bruit inconvenant et parfait. Tu sais que la porte de la salle n’est pas fermée à clef, mais ça ne fait que t’exciter un peu plus. Quand tu m’as demandé pourquoi je ne fermais pas, je me suis contenté de hausser les épaules. « Je suis fier d’avoir une chienne comme toi, pourquoi je la cacherais ? Au pire si on nous découvre, je t’ordonnerai d’être un bon jouet pour convaincre mon directeur de ne pas me virer ».

En frissonnant sous ce souvenir pas si lointain, tu accélères un peu. Je gémis de nouveau, ma main se serre dans tes cheveux avec plus de force. Plus de possessivité. Je te regarde faire, ton magnifique visage très sage au naturel, souillé de salive et de présperme qui te coule sur le menton. Tu es encore plus belle avec ce maquillage là. Avec un petit sourire amusé, je sors ma queue de ta bouche toute chaude, et je caresse ton visage avec. Mon pantalon n’est même pas défait, juste ouvert. Je me rends compte qu’on était trop pressés de t’avoir à genoux, toi et même.

J’adore sentir ta petite langue avide essayer d’attraper mon membre, tes lèvres de le faire revenir dans ta bouche. Sucer te manque déjà. Cette sensation unique d’avoir la bouche pleine de quelque chose d’à la fois doux et dur, chaud, qui palpite contre ta langue, sous tes joues creusées. Ma petite chienne adorée…

Au final je t’immobilise la tête sous ma main. Tu es un peu surprise au début, mais quand je commence à moi même onduler des hanches pour utiliser ta bouche comme simple objet pour me branler, tu comprends vite. Je t’entends gémir d’impatience, en sachant ce qui arrive. Avec un grand satisfait, je te tiens bien fort et je jouis dans un râle de plaisir mâle. Ma queue épaisse se contracte dans ta bouche, pour déverser jet après jet mon foutre chaud, riche. Directement dans la bouche de ma petite salope chérie.